HOMMAGE à

 

 

 

 

 

Marshall B. Rosenberg

 (1934 - 2015)

 

Créateur du processus de communication appelé « Communication Non Violente » (CNV) et directeur pédagogique du  « Centre pour la Communication Non Violente » (Center for Non Violent Communication), une organisation internationale à but non lucratif.

Il laisse derrière lui un réseau mondial de la CNV qui agit pour diffuser ce processus vecteur de changement social et de paix.

 

 

 

 

La phrase du moment....

 

"J'ai décidé d'être heureux, parce que c'est bon pour la santé"

VOLTAIRE (1694-1778)

 

ADDITIFS ALIMENTAIRES

 

« La face cachée de l'alimentation transformée »

 

 

Suite à plusieurs constats et l’état de désinformation de certaines personnes que je croise, il m’apparaît important de proposer une information rapide sur un des aspects de l’alimentation moderne occidentale: Les additifs alimentaires industriels. En bas de page, je vous propose également des liens pour vous orienter vers des sites instructifs.

 

 

#1: Le Glutamate monosodique:
un des additifs les plus contestés.

 

Le glutamate monosodique (G.M.S.) est synthétisé à partir de micro-organismes qui peuvent être transgéniques et/ou cultivés sur substrats alimentaires transgéniques (maïs), formé chimiquement au sodium, au calcium, à l’ammoniac ou au magnésium avec divers sels de l’acide glutamique E620.

Les glutamates se déclinent en additifs E621 à E625.

 

L'acide glutamique est le principal neuromédiateur excitateur dans le système nerveux central chez les mammifères, où il a notamment (à l’état naturel) un rôle important dans l'apprentissage et la mémoire.

 

Il est naturellement présent dans de nombreuses protéines animales et végétales, comme les algues, les tomates, les fromages par exemple, mais toujours sous forme liée avec d'autres acides aminés (donc assimilables par l'organisme), contrairement à l'acide glutamique commercial qui est toujours ajouté sous forme libre, et produit par hydrogénation de protéines ou par utilisation d'extraits de levures ou d'enzymes pour les décomposer.

 

L'innocuité des glutamates naturels, s'explique du fait qu'ils sont liés et que l'organisme est à même de les métaboliser correctement et progressivement, tandis que les glutamates industriels qui sont libres et à forte concentration, peuvent amener le taux d'acide glutamique dans le sang jusque 20 à 40x la normale!

Or, la barrière hémato-encéphalique humaine, n’est pas faite pour résister à de telles doses artificielles!

 

 

 

 EFFETS NOCIFS ET TOXICITÉ

 

* Effets nocifs sur le cerveau

 

où le glutamate compte parmi les médiateurs chimiques les plus importants.

 

En concentrations excessives, le glutamate déclenche un processus dit d'excitotoxicité, délétère, voire mortel pour les neurones. Il existe des doutes sur les effets à long terme des doses faibles à modérées et des craintes supplémentaires quant à la vulnérabilité des enfants.

 

On le soupçonne depuis longtemps de jouer un rôle dans le développement de maladies neurodégénératives provoquant la destruction des cellules nerveuses, comme par exemple la maladie d'Alzheimer, de Parkinson, de Huntington, de la sclérose en plaques ou de la sclérose latérale amyotrophique (SLA).

 

 

* Métabolisme de l’APPÉTIT

 

Des expériences ont montré que des animaux nourris au GMS avaient une préférence pour les carbohydrates, les aliments riches en protéines et en sucres, conduisant ainsi à une obésité de laquelle un retour est très difficile (perte du contrôle de l'appétit et du métabolisme, insensibilité aux hormones de satiété).

 

Il est donc considéré comme un dérégulateur hormonal de la faim et a un rôle aggravant ou développant dans les addictions alimentaires.

 

On sait également depuis longtemps que dans de rares cas, le glutamate peut déclencher chez les personnes sensibles le syndrome du restaurant chinois, un syndrome qui, entre autres, se manifeste par des maux de tête, un manque de sensations dans la nuque, des courbatures, de la nausée, des flushs faciaux, des sensations de brûlure et des douleurs cardio-vasculaires.

 

 

* Elément Cancérigène et aggravant.

 

Les excitotoxines telles que les glutamates ou l'aspartame (E951) peuvent accélérer la progression d’un cancer et des métastases cancéreuses.

 

Chez les personnes asthmatiques sensibles, le glutamate peut également déclencher dans des cas très rares des crises d’asthme, quoique le rapport de cause à effet n’ait pas encore été prouvé définitivement.

 

Les effets peuvent être d'autant plus nombreux et variés qu’en dehors du cerveau, il y a de nombreux récepteurs de glutamate dans des organes et des tissus.

 

Le système nerveux entier du cœur en contient beaucoup.

 

Les poumons, les ovaires, tout le système reproductif, même le sperme, les glandes surrénales, les os et même le pancréas sont tous contrôlés par des récepteurs de glutamate. Ils agissent et opèrent comme les récepteurs de glutamate du cerveau.

 

 

- Données officielles -

 

Dans l'Union Européenne, les additifs sont également introduits selon un dosage non limité (quantum satis) dans les assaisonnements et condiments (directs ou indirects, exemple: les produits de substitution du sel) ou limités à 10.000 mg/kg comme "quantité maximale spécifique".

L'acide glutamique et les glutamates sont listés comme exhausteurs d'arôme au Codex alimentarius et peuvent, selon sa vision, être ajoutés à n'importe quelle dose estimée raisonnablement nécessaire par le fabricant (BPF) à une vaste gamme d'aliments.

 

Au moyen de ces substances, on compense les disparitions de goût dans les aliments transformés.

Ainsi, beaucoup de plats préparés, instantanés, emballés, en conserves ou surgelés, obtiennent un goût acceptable seulement quand cet additif y a été ajouté. Les soupes en sachets et les sauces en poudre, ainsi que les chips (…) et d’autres aliments à grignoter seraient également très fades sans cet additif.

 

En tant qu'additifs ajoutés, les glutamates sont exclus de la filière Bio,

dans l'Union Européenne comme aux États-Unis.

 

ATTENTION toutefois :

 

Aux « extraits de levure », nom souvent utilisé dans les produits "Bio" tels que certains bouillons en cube et pâtés végétariens.

 

 

* REMEDES EXPRESS *

 

Pour les personnes sensibles à l'acide glutamique ou aux glutamates : Interrogé sur la possibilité de bloquer l'absorption de ces glutamates supplémentés, le Dr. Russel Blaylock conseille d'utiliser, sans prétendre au blocage total, des acides aminés comme les leucines, les isoleucines et les lysines, les silices marines, le CURCUMA (très efficace), le ginkgo biloba, la plupart des flavonoïdes, le magnésium, le succinate de vitamine E, et comme tout antioxydant les combinaisons de

vitamine B.

NB: le curcuma et les flavonoïdes sont des anti-inflammatoires naturels.

 

 

 

 

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* LISTE NON EXHAUSTIVE DES ADDITIFS *

 

 

 

Les colorants alimentaires, E100 à E182

 

Près d’un colorant sur deux est dérivé d'hydrocarbures. Extraits jadis de goudron de houille, aujourd'hui pétrochimiques, ils sont presqu'unanimement suspectés de dérèglements latents chez l'enfant comme l’hyperactivité, les déficits de l'attention, la baisse des résultats scolaires et de la sociabilité.

Ils sont aussi suspectés de cancérogénicité.

 

 

Les amidons modifiés, E1400 à E1452

 

Des matières premières transgéniques comme le maïs, la pomme-de-terre ou le blé sont très vraisemblables car les OGM sont invisibles (jamais étiquetés) et commercialement très compétitifs.
Ces matières sont ensuite modifiées chimiquement le plus souvent, sinon enzymatiquement ou physiquement. La chimie recourt à des principes actifs bien connus pour être toxiques comme l'oxyde de propylène ou l'acétate de vinyle.

 

 

Les huiles minérales de qualité alimentaire E905a, E905d, E905e, E905f, E905g

 

Une huile minérale est un extrait hydrocarbure utilisé principalement comme huile de moteur et autres lubrifiants mécaniques.

 

Le label « de qualité alimentaire » proposé dans l'alimentation transformée est adopté après un abondant raffinage de cette huile.

Utilisée notamment comme agent de glaçage.

 

 

La litholrubine BK,  E180

 

Cette encre pétrochimique est le classique magenta des imprimantes domestiques à jet d'encre.

Qualifiée de colorant alimentaire par le Codex alimentarius, elle est autorisée dans l'Union Européenne pour teindre des croûtes comestibles de fromage.

 

 

Le noir de carbone, E152

 

Résidu polluant à l'état brut de la combustion domestique et des moteurs diesel, il est utilisé industriellement pour noircir les pneus et fabriquer des encres d'imprimantes laser (toners). Traité et "purifié" dans l'alimentation transformée pour être utilisé comme colorant.

 

 

Le dioxyde de soufre, E220

 

Ce gaz toxique des cheminées d'usines, responsable des pluies acides, est la molécule de base des fameux sulfites (E220,.228, E150b-d).

Normalisé comme conservateur et antioxydant, il est notamment utilisé dans les vins [info.], les sodas noirs (caramel au sulfite ammoniacal E150d),

et les abricots séchés.

 

 

Le formol (dit formaldéhyde), E240

 

Mieux connu comme conservateur de cadavres d'animaux et d'humains, le formol (solution aqueuse commercialisée) est renommé formaldéhyde (forme brute gazeuse) pour raison commerciale.

Toxique et cancérigène il est interdit dans l'Union Européenne, mais des traces (max. 0,1% selon le règlement UE 231/2012) sont présentes dans une douzaine d'additifs autorisés.

 

 

Le nitrate de potassium ou salpêtre, E252

 

Connues depuis le moyen-âge sous le nom de salpêtre, ces fibres blanches duveteuses ont une longue histoire dans la fabrication de la poudre à canon et la conservation de la viande, de laquelle on ignorait encore vraisemblablement la cancérogénicité. Aujourd'hui synthétiques, elles étaient à l'époque extraites des murs des caves et des lieux sombres et humides.

 

 

L'urée (dite carbamide), E927b

 

L'urée, renommée plus commercialement carbamide, est le principal déchet évacué par l'urine (animale?). Qualifiée d'agent de traitement des farines au Codex alimentarius, elle est en pratique dans l'Union Européenne utilisée dans les chewing-gums sans sucre et les produits de blanchiment des dents.

 

 

Les origines ténébreuses (traces fécales) E234, E424, E428, E441, E457, E920, E1103

 

La gélatine E428 ou E441, la nisine E234 et l'invertase E1103 peuvent contenir de petites quantités de coliformes (théoriquement moins de 100/gr.) ; un coliforme est une bactérie d'origine fécale (selles animales?).

 

L'alpha-cyclodextrine E457 est produite avec l'enzyme transgénique CGTase sur des sirops d'amidon hydrolysés. Le gène codant de cet OGM est dérivé d'un bacille de la flore fécale.

 

E920 contient l'acide aminé L-cystéine qui, bien que d'origine naturel, peut être biosynthétisé à partir de bactéries transgéniques d'origine fécale (E. coli).

 

 

Le péroxyde d'acétone, E929

 

Cet explosif presqu'aussi puissant que le TNT, a de par sa fabrication simple, accessible, et sa difficulté de détection, une histoire connue dans l'armement artisanal de terroristes — Agent de traitement des farines

 

 

Le Propylène glycol, E1520

 

Composé chimique artificiel aux applications nombreuses et très diverses, c'est notamment un anti-gel pour avions, le principe actif des nouvelles cigarettes électroniques, un fumigène de spectacles et discothèques et un principe actif létal pour pièges à coléoptères.

 

Vu et utilisé dans ou sur une denrée comme agent humectant, dispersant, de glaçage et de blanchiment.

 

 

L'ammoniaque E150c, E150d, E239, E503, E510, E527, ...

 

L'ammoniaque est notamment un produit ménager très caustique, efficace pour nettoyer et dégraisser. Près d'une trentaine d'additifs dérivés d'ammoniaque sont aujourd'hui commercialisés, comme le Caramel au sulfite ammoniacal E150d régulièrement ingéré par les enfants dans les sodas noirs, ou encore l'hydroxyde d'ammonium E527, formé avec près de 30% de gaz ammoniac.

 

 

L'huile de soja thermo-oxydée, E479b

 

Esters glycériques d'acides gras contenant près de 10% d'huile de soja oxydée par chauffage, ce qui peut être assimilé à 10% d'huile de friture usée — Vu et utilisé comme émulsifiant

 

 

La cochenille, E120, et la gomme laque, E904

 

Standardisés comme colorant et agent de glaçage, les matières premières de ces additifs sont des insectes parasites des plantes, respectivement Dactylopius coccus (photo) et Laccifer lacca.

 

 

La cellulose transformée (E469), le pullulane (E1204), le béta-carotène (E160a(iii) ) et le lycopène (E160d(iii) )

 

La cellulose transformée et le pullulane sont biosynthétisés avec des champignons pathogènes des plantes et opportunistes sur l'homme (Trichoderma longibrachiatum et Aureobasidium pullulans).

Le béta-carotène et le lycopène, variantes 'iii', sont biosynthétisés avec un champignon saprophyte (i.e. qui se nourrit de matières organiques en putréfaction), parasite des plantes et transgénique dans sa version alimentaire (Blakeslea trispora). Sur l'étiquette, les variantes 'i', 'ii', etc. sont généralement passées sous silence.



Poudre d'alumine


L'apparition de l'aluminium dans l'alimentation (solide et liquide) est à l'origine de toutes les nouvelles maladies apparues aprés guerre (fibromialgies, scléréo en plaques, Alzeimer, maladie de Crohn, cancers ect...)


L’aluminium ayant de nombreuses propriétés, les industriels de l’agroalimentaire l’utilisent comme additifs alimentaires, sous différentes formules chimiques :

métal (E173), sulfates (E520 à E523), phosphates (E541) ou silicates (E554-555-556-559).


Sous ces formes, l’aluminium sert de conservateur dans les charcuteries, de levant dans les gâteaux, d’agent de blanchiment dans les pains et les farines, d’antiagglomérant dans le sel ou les poudres de lait pour bébé, de colorant dans les confiseries, etc…


Lors du traitement des eaux, des agents floculants à base de sels d’aluminium sont ajoutés, notamment pour éliminer les microorganismes dans l’eau et pour rendre l’eau plus claire et limpide. L’aluminium se lie alors aux particules organiques en suspension et forme des flocons qui s’agglomèrent et se déposent sous l’effet de la gravité.


Le sulfate d’aluminium Al2(SO4)3 et le chlorure d’aluminium AlCl3 sont les floculants les plus répandus parce qu’ils sont efficaces, relativement peu coûteux et que l’on peut se les procurer facilement.


http://www.asef-asso.fr/.../laluminium-ce-metal-qui-n..

Lien vidéo : https://www.facebook.com/nicolas.../videos/2052836173..

Lien vidéo : https://www.facebook.com/nicolas.../videos/2052834939..

Article : https://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ10101056..

Article : http://www.asef-asso.fr/.../laluminium-ce-metal-qui-n..

 

 ***

Liste non exhaustive et enrichie chaque année de nouveaux additifs alimentaires autorisés par l’UE.

 

Le Codex Alimentarius* définit sa liste officielle internationale des additifs alimentaires comme une liste ouverte. De fait, ces dernières années, elle a crû lentement mais régulièrement au rythme d'un ou deux nouveaux additifs par an.

 

La grande majorité de ces additifs illustrés est, avec de nombreux autres, exclue de la filière biologique, à l'exception d'une poignée comme le dioxyde de soufre, le salpêtre et la gélatine.

 

Plus de 350 additifs alimentaires autorisés dans l'U.E., quelques 50 dans la filière d'alimentation biologique.

 

 

 

 

EN CONCLUSION :

 

 

« Que ton aliment soit ton premier médicament »

 

Hippocrate (460-370 av. J.C.)

 

Se nourrir sainement c’est:

Acheter bio ou en agriculture raisonnée,

avec vigilance et conscience,

et privilégier la filière courte.

 

 

En BIO la réglementation c’est :

  • Pas de pesticides toxiques sur les fruits et légumes
  • Pas d'additifs transgéniques (OGM)
  • Pas de denrées ionisées (c-à-d, irradiées)
  • Respect du cheptel animal, de son alimentation et de sa médication
  • et donc de la qualité de ses produits : oeufs, laits, fromages, yaourts y compris le miel !

 

 

 

 

 

Personnellement…

 

Suite à une prise de conscience, j’ai modifié mon alimentation en 2011, en passant d’abord au tout BIO, alimentaire, accessoires de cuisine et cosmétiques, et en 2012, en  adoptant un mode végétarien qui a évolué en alimentation crue et vivante.

 

Aujourd’hui, je reste sur une alimentation BIO, au maximum locale, et j’ajuste mon régime en fonction de mes besoins et de mes ressentis (parfois tout cru, végétalien cru ou cuit, parfois 80% cru etc…).

 

Le jeûn et la cure de jus frais, sont également des éléments importants,

 

que je mets en place plusieurs fois dans l’année.

Et l'entretien d'une hygiène intestinale étant primordiale, je recommande une irrigation du côlon une fois par an (en fonction des besoins, il est généralement recommandé d'en faire 2).

 

***

 

Tout en changeant mon alimentation, j’ai ainsi fait évoluer ma façon de me NOURRIR et

 

non uniquement ma façon de manger.

 

Ces 2 fonctions, pour moi, bien que convergentes et liées, sont sensiblement différentes, en termes de

 

valeurs nutritionnelles, fonctionnelles, sensorielles, écologiques (intérieure et environnementale) et évolutives.

 

 

 

Mon leitmotiv :

 

« Je me nourris mieux, je mange moins ! »

 

 

 

 

Pour moi, il est hors de question de me ruiner la SANTÉ à consommer des denrées de piètre qualité et toxiques,

 

Et il est également hors de question de me ruiner le porte-monnaie à manger SAIN !

Oui, c'est possible et c'est économique.

 

 

 

Mes observations directes :

 

  • Le corps se réapproprie ses fonctions de détoxination et j'évolue dans une relation plus confiante avec mes ressentis physiques,
  • Perte de poids, disparition de l’acné (avec la suppression des produits laitiers et du sucre),
  • Disparition des symptômes digestifs tels que douleurs/glaires/saignements intestinaux intempestifs (avec l’arrêt du gluten),
  • Un meilleur équilibre émotionnel,
  • Une meilleure santé dentaire,
  • Mes enfants et moi n’avons plus de maladies saisonnières, et nous n’allons chez le médecin qu’en cas de besoin de diagnostic,
  • Nous consommons de façon responsable, locale, et en respectant les saisons,
  • Nous nous amusons à découvrir des légumes, des fruits anciens et/ou exclus de la filière classique,
  • Nous nous régalons de GOÛTS et parfums authentiques, riches en couleurs et saveurs,
  • Du lien social se crée, des échanges et des rapprochements citoyens sont créés et facilités,
  • Et point important : en mangeant BIO, de qualité et local, j’ai remarqué que mon BUDGET alimentaire est inchangé voire amélioré: je dépense moins!

 

Nous nous définissons à chaque acte que nous faisons, c'est pourquoi dans cette vision, je m’estime éco-responsable et consom’actrice, ce qui m’amène aujourd’hui à des projets de co-création d’autonomie alimentaire (et de vie) permaculturelle.

 

 

Le changement de paradigme,

 

C’est un état d’esprit.

 

 

 ***

 

Source Additifs alimentaires:

 

http://www.additifs-alimentaires.net/E621.php

 


 

Articles SANTÉ CORPS-ESPRIT :


Article du 13/12/2021

https://exoportail.com/alimentation-les-francais-avalent-4-kg-dadditifs-par-an/

NB : le taux de glutamate monosodique me paraît étrangement bas, comparé aux autres additifs. 🤔


Article de 2020

https://www.sante-corps-esprit.com/leads/piege-alimentation-bio?leadcode=P11FBCPIAB1&leadcode2=P19FBCPIAB1

D'après une étude de 60millions.mag de juin 2019

 


ALIMENTATION - NUTRITION - ENVIRONNEMENT

 

Pour aller plus loin:

 

- Des livres -

 

Giulia ENDERS, Le charme discret de l’intestin

 

Dr Peter J. D'ADAMO, Les Régimes par les groupes sanguins

 

 

- Des sites -

Le site de Thierry CASASNOVAS qui propose une documentation très éclairante et éclairée sur la santé avec de nombreuses informations non seulement alimentaires, écologiques mais aussi physiologiques. Pour comprendre les fonctions de son corps facilement et clairement!

 

 

 Le site d'Irène GROSJEAN, la naturopathe la plus célèbre de France! De nombreux conseils en alimentation crue et vivante, et de santé globale également,

 

  • L'excellent site de modèle d'agroécologie bio permaculturelle en Normandie: la FERME DU BEC HELLOUIN.

Ce site, très riche et très complet, vous présente une permaculture accèssible, avec de nombreuses vidéos de présentation aussi bien que pédagogiques. Le lieu est devenu en quelques années un haut-lieu de développement écologique, avec la création de l'école de permaculture.

www.fermedubec.com/

 

 

  • L'incontournable film-documentaire "COWspiracy".

Pour enfin comprendre clairement, le lien entre alimentation et écologie, et prendre conscience de l'état d'urgence dans lequel nous nous trouvons actuellement:

https://www.youtube.com/watch?v=MjIXJMGpT3k

 

 

  • L'excellent film-documentaire "STOP! RODANDO EL CAMBIO"

(trad.: "Le changement est en marche!")

Positif, des explications claires, ce film porteur d'espoirs et de solutions très concrètes, propose un décryptage sensible et très intéressant de la crise écologique/économique/sociale actuelle. Une mine d'information, des clés pour comprendre ce qu’il se passe à l'heure actuelle dans nos sociétés, à voir et à diffuser largement!!

 

https://www.youtube.com/watch?v=hGqpf3RX0Ik

 

 

  • Le film-documentaire sur la malbouffe, qui a fait trembler l'Amérique et le reste du monde: "SUPERSIZE Me" de Morgan SPURLOCK.

Le réalisateur de ce film a pris de très gros risques sur sa santé pour démontrer à quel point, ce mode alimentaire moderne, était dangereux voire mortel...

A diffuser largement.

 

https://www.youtube.com/watch?v=tOZUxioYQMc

 

  • Et bien sûr, le film qui a beaucoup touché un vaste public français: "DEMAIN"

 

https://www.youtube.com/watch?v=tOZUxioYQMc

 

 ***

 

* Le codex Alimentarius (ou codex alimentaire) est un programme commun de lOrganisation Des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de l'Organisation Mondiale de la santé (OMS) consistant en un recueil de normes,, codes d'usages, directives et autres recommandations relatifs à la production et à la transformation agroalimentaire qui ont pour objet la sécurité alimentaire des aliments, soit la protection des consommateurs et des travailleurs des filières alimentaires, et la préservation de l'environnement.

Cette commission internationale, où siègent les représentants de près de 200 pays, a été créée en 1963 par la FAO et l'OMS.